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Coco Untold Stories, les jeunes années…
Elle symbolise l'élégance à la française. Gabrielle Chanel, née en 1883 à Saumur, de son vrai nom, Gabrielle Chasnel, a connu l'orphelinat. À l'âge de 12 ans, elle est recueillie avec deux de ses sœurs à l'abbaye d'Aubazine, en Corrèze.
Sa mère est décédée en 1895, à Brive-la-Gaillarde. Alors qu'elle n'a que 12 ans, son père, l'abandonne quelques mois après, au bon soin des nonnes. Il ne reviendra jamais. Gabrielle va apprendre à Aubazine la couture. Elle y restera 6 années. L’abbaye restera une forte source d’inspiration pour les codes de la maison Chanel…
Le goût de Coco Chanel pour les vêtements aux lignes épurées, sa prédilection pour le noir, le blanc et le beige sont peut-être liés à la sobriété de ces lieux et de ses occupantes…
Une fois partie d’Aubazine, elle rejoint Moulin. Gabrielle devait gagner sa vie, aussi elle chante dans des petits spectacles dans les bars, elle était connue pour son interprétation de
« Qui a vu Coco sur le Trocadéro ? ». Coco, surnom qui est resté pour la postérité…
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Petite histoire du bagage à travers le temps…Les premiers bagages remontent à l'Antiquité, où les gens utilisaient des sacs en tissu ou des paniers tressés pour transporter leurs affaires. Cependant, ces sacs étaient souvent volumineux et peu pratiques à transporter sur de longues distances.
Au fil des siècles, les bagages ont évolué pour devenir plus fonctionnels et adaptés aux besoins des voyageurs. Au Moyen Âge, les nobles utilisaient des coffres en bois pour transporter leurs biens lors de leurs déplacements. Ces coffres étaient souvent lourds et nécessitaient plusieurs personnes pour les transporter.
Avec l'avènement des voyages en train et en bateau au 19ème siècle, les bagages ont connu une nouvelle évolution. Les malles en bois sont devenues populaires, offrant une meilleure protection pour les objets fragiles. Ces malles étaient souvent ornées de cuir ou de toile et étaient utilisées par les voyageurs fortunés.
Au 20ème siècle, l'arrivée de l'aviation commerciale a entraîné une nouvelle transformation des bagages. Les valises rigides en métal ou en plastique sont devenues courantes, offrant une meilleure résistance aux chocs et une plus grande capacité de rangement. Les roulettes ont également été ajoutées pour faciliter le transport.
Aujourd'hui, les bagages sont disponibles dans une grande variété de formes, de tailles et de matériaux. Les grandes maisons de Luxe en ont fait leur signature… De nombreux modèles sont disponible sur Les Malletiers….
Le sac de voyage Keepall de Louis Vuitton, les années 30… Les croisières sont à la mode, les vacances à Deauville et à Biarritz aussi.
A cette époque, prisée pour ses malles, la maison Louis Vuitton doit s'adapter à ces nouveaux modes de vie. Et voilà donc le Keepall, sac qui "garde tout" , souple, zippé, tendu de la fameuse toile enduite monogrammée. Ses formes généreuses permettent de glisser une tenue de sport et quelques vêtements simples pour un week-end à la campagne.
Succès immédiat, le Keepall n'a jamais quitté le catalogue de Louis Vuitton. Décliné dans les autres toiles du malletier, il fut relooké par les artistes invités par Marc Jacobs comme Takashi Murakami ou d’autres...
Quatre tailles furent décidées (45, 50, 55 et 60 cm), les trois premières restant les plus plébiscitées car permettant le passage en cabine.
Vu et revu sur tous les People depuis des générations, le Keepall est aujourd'hui un intemporel, qu'on garde, qu'on chérit et qu'on regarde se patiner amoureusement…Les Malletiers l’aime aussi !
En 1910, Coco Chanel ouvre une boutique de chapeaux (Chanel Modes) au 21, rue Cambon, à Paris, avec l'aide de son protecteur et ami Etienne Balsan ainsi que d’Arthur Capel (dit Boy), devenu son amant.
Une nouvelle boutique Gabrielle Chanel ouvre à Deauville en 1913, proposant d'abord des chapeaux, puis rapidement des vêtements.
En 1914, alors que la Première Guerre mondiale débute, Coco Chanel reste dans la station balnéaire de Deauville, très prisée des riches Parisiens.
Cette même année, Gabrielle Chanel passe un week-end à Biarritz, lieu où les affaires se font en ces temps de guerre, avec son amant Boy, une troisième boutique ouvre ses portes l'année suivante dans cette ville épargnée par la guerre.
À la fin de la Guerre en 1918, Gabrielle Chanel rembourse l'investissement de son amant et devient indépendante financièrement.
Elle ouvre alors une autre boutique au 31,rue Cambon à Paris.
Dans les années 1920, l'économie mondiale se remet de la guerre et Coco Chanel étend ses activités en ouvrant ateliers, bureaux, et une autre boutique au numéro 31 puis plus tard des bureaux aux numéros 25, 27 et 23 de la rue Cambon. Un point de vente ouvre également à Cannes.
Chanel débute ainsi son empire…