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Avez-vous déjà eu l’occasion de visiter la fondation Pierre Bergé - Yves Saint Laurent à Paris au 5, avenue Marceau dans le 16ème arrondissement ?
C’est un endroit magique ! Un hôtel particulier de style Second Empire où Yves Saint Laurent installera ses ateliers en 1974 et y affirmera son style durant 28 années jusqu’en 2002, année où il mettra fin à sa carrière.
L’exposition du moment : Formes.
L’exposition présente une quarantaine de modèles, haute-couture et prêt-à-porter, accessoires et croquis, qui trouvent une résonance avec les décors et les œuvres de l’artiste allemande Claudia Wieser. Cette expérience originale inscrit définitivement le génie du couturier dans notre époque contemporaine.
Yves Saint Laurent ne disait-il pas en 1977 : « Je suis classique quand j’adore Molière. Classique aussi quand j’évolue dans des décors raffinés. Mais sous des apparences classiques, j’ai des goûts très modernes. Mes peintres de prédilection demeurent Mondrian, Picasso, Fernand Léger… Cela dit, que notre sensibilité nous porte vers le classique traditionnel ou vers des formes d’avant-garde, il faut conserver des liens avec son passé. »
Yves Saint Laurent c’est à la fois l’élégance et l’intemporalité.
Deux mots que nous apprécions énormément chez Les Malletiers !
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Petite histoire du bagage à travers le temps…Les premiers bagages remontent à l'Antiquité, où les gens utilisaient des sacs en tissu ou des paniers tressés pour transporter leurs affaires. Cependant, ces sacs étaient souvent volumineux et peu pratiques à transporter sur de longues distances.
Au fil des siècles, les bagages ont évolué pour devenir plus fonctionnels et adaptés aux besoins des voyageurs. Au Moyen Âge, les nobles utilisaient des coffres en bois pour transporter leurs biens lors de leurs déplacements. Ces coffres étaient souvent lourds et nécessitaient plusieurs personnes pour les transporter.
Avec l'avènement des voyages en train et en bateau au 19ème siècle, les bagages ont connu une nouvelle évolution. Les malles en bois sont devenues populaires, offrant une meilleure protection pour les objets fragiles. Ces malles étaient souvent ornées de cuir ou de toile et étaient utilisées par les voyageurs fortunés.
Au 20ème siècle, l'arrivée de l'aviation commerciale a entraîné une nouvelle transformation des bagages. Les valises rigides en métal ou en plastique sont devenues courantes, offrant une meilleure résistance aux chocs et une plus grande capacité de rangement. Les roulettes ont également été ajoutées pour faciliter le transport.
Aujourd'hui, les bagages sont disponibles dans une grande variété de formes, de tailles et de matériaux. Les grandes maisons de Luxe en ont fait leur signature… De nombreux modèles sont disponible sur Les Malletiers….
Le sac de voyage Keepall de Louis Vuitton, les années 30… Les croisières sont à la mode, les vacances à Deauville et à Biarritz aussi.
A cette époque, prisée pour ses malles, la maison Louis Vuitton doit s'adapter à ces nouveaux modes de vie. Et voilà donc le Keepall, sac qui "garde tout" , souple, zippé, tendu de la fameuse toile enduite monogrammée. Ses formes généreuses permettent de glisser une tenue de sport et quelques vêtements simples pour un week-end à la campagne.
Succès immédiat, le Keepall n'a jamais quitté le catalogue de Louis Vuitton. Décliné dans les autres toiles du malletier, il fut relooké par les artistes invités par Marc Jacobs comme Takashi Murakami ou d’autres...
Quatre tailles furent décidées (45, 50, 55 et 60 cm), les trois premières restant les plus plébiscitées car permettant le passage en cabine.
Vu et revu sur tous les People depuis des générations, le Keepall est aujourd'hui un intemporel, qu'on garde, qu'on chérit et qu'on regarde se patiner amoureusement…Les Malletiers l’aime aussi !
Coco Untold Stories, les jeunes années…
Elle symbolise l'élégance à la française. Gabrielle Chanel, née en 1883 à Saumur, de son vrai nom, Gabrielle Chasnel, a connu l'orphelinat. À l'âge de 12 ans, elle est recueillie avec deux de ses sœurs à l'abbaye d'Aubazine, en Corrèze.
Sa mère est décédée en 1895, à Brive-la-Gaillarde. Alors qu'elle n'a que 12 ans, son père, l'abandonne quelques mois après, au bon soin des nonnes. Il ne reviendra jamais. Gabrielle va apprendre à Aubazine la couture. Elle y restera 6 années. L’abbaye restera une forte source d’inspiration pour les codes de la maison Chanel…
Le goût de Coco Chanel pour les vêtements aux lignes épurées, sa prédilection pour le noir, le blanc et le beige sont peut-être liés à la sobriété de ces lieux et de ses occupantes…
Une fois partie d’Aubazine, elle rejoint Moulin. Gabrielle devait gagner sa vie, aussi elle chante dans des petits spectacles dans les bars, elle était connue pour son interprétation de
« Qui a vu Coco sur le Trocadéro ? ». Coco, surnom qui est resté pour la postérité…